Pleine santé

Le système hormonal féminin

Le système hormonal féminin

Si il y a un sujet sur lequel les femmes sont toutes différentes, c’est leur système hormonal. Notre bien-être, notre équilibre et nos humeurs sont intrinsèquement liés à nos “hormones”… tout comme nos productions hormonales, sont intrinsèquement liées à la relation hypothalamus / hypophyse, extrêmement sensibles aux variations de stress physique et émotionnel que nous vivons. L’équilibre de l’un dépend donc de l’autre et réciproquement.  
Pour certaines d’entre nous, ce cycle se déroule sans aucun problème, tout roule. Pour d’autres, c’est très compliqué. Et pour d’autres encore, c’est l’enfer. Aucune femme n’est identique. Le système hormonal (homme comme femme) est directement relié à ce que nous vivons (émotions et stress), ce que nous mangeons et les perturbateurs endocriniens peuvent le mettre à très rude épreuve.

Essayons donc de comprendre ce qui se passe dans notre corps afin d’adapter en fonction de ce que nous vivons notre alimentation, de mettre en place des exercices physiques et relaxation, et d’être soutenu par quelques plantes. 

Les différentes étapes de la vie des femmes

Au cours de la vie d’une femme, son corps va expérimenter la puberté et l’adolescence, l’étape de la jeune femme et celle éventuellement de la maman, l’étape de la femme, l’étape de la ménopause et enfin l’étape de la sagesse.

Au moment de la puberté, les cycles apparaissent. C’est à cette période que la production d’oestrogènes (par les ovaires) va commencer à augmenter pour atteindre son apogée vers nos 35 ans et ensuite décliner doucement.
Ainsi, pour résumer grossièrement, nos oestrogènes sont plus ou moins les principaux acteurs dans le changement de notre corps (seins, système pileux, sécrétion de sébum, élargissement du bassin et des hanches, voix, etc.) mais surtout ils sont prédominants dans la cascade hormonale, appelé le cycle.

En plus du système hormonal “gonades” (ovaires), la production des hormones oestrogènes et progestérone, est assurée à 50% de nos besoins par les surrénales (produit en plus la testostérone). Et les excédents d’oestrogènes circulant sont métabolisés par le foie (voies 2-OH, 4-OH et 16-OH).

Pour résumer, au cours du cycle :

  1. Phase folliculaire avec production de FSH (Folliculo-Stimuline Hormone) par l’hypophyse  qui permet (entre autres) :
    • à l’ovaire de sécréter l’oestradiol (oestrogènes),
    • de fabriquer l’enzyme aromatase permettant de convertir les androgènes en oestrogènes,
    • à l’ovaire de produire des follicules jusqu’à maturation.
    • Les oestrogènes permettent :
      • à l’utérus de s’épaissir (l’endomètre peut accueillir ainsi un ovule fécondé),
      • à l’ovaire de faire croître les follicules,
      • de déclencher l’ovulation – l’apogée de leurs sécrétions déclenchant la libération de LH,
      • d’augmenter le taux de sérotonine (bien-être, sérénité).
  1. Ovulation, phase lutéale et production de LH (Luteine Hormone) par l’hypophyse. L’hormone lutéinisante est déclenchée par le pic d’oestrogène. Elle permet de :
    • Libérer et d’expulser un ovule dans la trompe (c’est pour cela que certaines femmes ont mal à l’ovaire concerné à la période de l’ovulation car l’activité est intense).
    • L’ovule libéré va sécréter le corps jaune permettant de produire la progestérone. C’est le corps jaune qui produit la progestérone.
    • La progestérone permet: 
      • l’harmonisation de la densification de l’endomètre et sa vascularisation,
      • la fécondation, elle empêche les contractions utérine,
      • d’apporter de la détente et de la faciliter à l’endormissement (aurait des propriétés anxiolytiques). 
  •  

Pendant la grossesse, le corps va mettre les oestrogènes au repos. C’est la progestérone qui sera la reine. Au début de la fécondation, sa production sera assurée par la HCG (hormone gonadotrophine chorionique que l’on recherche dans votre sang pour confirmer que vous êtes bien enceinte), et à partir du 3ème mois, elle sera maintenue par le placenta. La forte diminution des oestrogènes peut entraîner une forte diminution des taux de sérotonine et donner des chutes de moral, des coups de “blues” conséquents. La forte augmentation de progestérone peut provoquer des fatigues extrêmes et des besoins de dormir importants. Le corps s’adapte mais la période de transition peut être plus ou moins confortable.

Pendant l’allaitement, votre corps va sécréter principalement les hormones ocytocine et prolactine. La prolactine permet à votre corps de fabriquer le lait et elle va également bloquer l’ovulation.  

A la ménopause, le cycle de l’ovulation s’arrête au niveau des ovaires… et donc la cascade hormonale liée au cycle de l’ovulation s’arrête. Néanmoins, le corps étant divinement construit, les surrénales, le foie et le corps adipeux savent fabriquer les hormones permettant que l’équilibre soit retrouvé.

Parfois, dans nos vies de femme, l’équilibre hormonal est difficile à trouver, à maintenir et à stabiliser. Et, quand nos “hormones” nous mettent à l’épreuve, notre vie peut rapidement devenir un enfer.
Le facteur “vie stressante” que cela soit professionnellement, personnellement ou pour tout autre raison est à prendre en compte dans tous les problèmes d’équilibre de nos hormones (également pour la thyroïde) car l’impact sur l’hypothalamus (le big boss des commandes hormonales) est concret. L’alimentation de qualité biologique est notre premier remède (les boissons aussi), la santé du foie et de l’intestin est fondamentale tout comme la gestion du stress et de nos émotions. Quant aux perturbateurs endocriniens, ils ne sont pas que dans l’air que nous respirons, ils sont également dans notre environnement (meubles, matériel informatique, vêtements),  dans les aliments et les boissons que nous ingérons, dans les cosmétiques et produits d’hygiène. Plus votre nourriture est industrielle, plus votre environnement est pollué, plus les risques de déséquilibre de la balance hormonale sont élevés… et plus vos risques de maladies inflammatoires divers et variées sont grands.     

Les hormones du cycle féminin

Comment les sécrétions hormonales fonctionnent-elles et quels sont leurs rôles dans le cycle menstruel? 

Le cycle est rythmé par deux grandes phases : règles / croissance folliculaire (phase folliculaire-oestrogènes), ovulation et corps jaune (phase lutéale-progestérone). Comme expliqué précédemment, chacune de ces phases a un rôle lié à une sécrétion d’hormone spécifique. Les stimulations hormonales majeures venant de l’hypophyse sont FSH et LH, permettant respectivement la production d’oestrogène et de progestérone. 

Le chef d’orchestre est le couple “hypothalamus / hypophyse”.
En fonction des niveaux d’hormones circulant dans le sang, l’hypothalamus émettra l’hormone GnRH (gonadolibérine / stimulation des gonades) afin que l‘hypophyse sécrète des stimulations hormonales permettant aux ovaires de fabriquer les hormones assurant le cycle.
Pour résumer, l’hypothalamus libère des neurohormones qui permettent à l’hypophyse de stimuler la sécrétion d’hormones par les organes concernés (les neurohormones sécrètent également les stimulations hormonales des surrénales permettant au corps de s’adapter aux situations de stress, de fabriquer le cortisol mais aussi des androgènes/oestrogènes. Le stress intervient donc dans l’équilibre hormonal).

Pour rappel, quand on compte les jours du cycle, le 1er jour est le 1er jour des règles.

  • Du 1er au 14ème jour – la première partie du cycle, la phase folliculaire. Les follicules sont fabriqués au sein des ovaires et donneront un ovule. Durant cette période, l’hypophyse sécrète la FSH, l’hormone qui stimule la production de follicules au sein de l’ovaire, ces derniers permettant la sécrétion des oestrogènes. Les oestrogènes permettent aussi à l’endomètre de s’épaissir (préparation de l’utérus pour accueillir une fécondation).
  • Vers le 14ème jour, phase lutéale, l’apogée de la sécrétion d’oestrogènes permet la libération de LH (lutéine hormone). Elle déclenche l’ovulation. La libération de l’ovule permet de sécréter le corps jaune, ce dernier permettant la sécrétion de progestérone. 
  • Vers le 28ème jour, les règles. Si l’ovule n’a pas été fécondé, alors le corps jaune se détériore et provoque la chute de sécrétion de progestérone. Les règles apparaissent et sont le reflet de l’évacuation de l’épaississement de l’endomètre.  

Les neurohormones

Les neurohormones sont issues du cholestérol d’où l’importance d’avoir un taux de lipoprotéine HDL élevé et un foie en parfaite santé. L’hypothalamus faisant partie du système nerveux autonome (respiration, rythme cardiaque), il est directement impliqué dans la réponse d’adaptation au stress et dans l’activité des surrénales pour la production du cortisol.

Le cortisol, c’est l’hormone de l’adaptation au stress (tous les stress, stress positif et stress négatif). Il y a une relation étroite entre les activités hormonales venant des surrénales, de la thyroïde et des ovaires (hormones dites sexuelles). Les glandes surrénales jouent le rôle de pare-chocs en produisant des hormones qui permettent au corps de s’adapter à tous les stress, internes et externes. Mais s’il y a trop de stress tout le temps, alors les surrénales vont se comporter comme un cheval mal nourri, mal hydraté, pas assez reposé et fatigué auquel on demande de faire le même travail.
Or si les surrénales sont fatiguées, la thyroïde et les ovaires ne peuvent pas fonctionner correctement. L’équilibre entre l’adrénaline, le cortisol et la DHEA est donc important pour l’équilibre hormonal.
 

La prégnénolone, neurohormone, mère de toute une cascade hormonale, est issue du cholestérol. On en parle rarement, mais elle est très importante car elle permet de fabriquer une série d’hormones au niveau des surrénales : le cortisol (hormone de l’adaptation), la progestérone (hormone yin, féminisante), l’aldostérone (équilibre hydrosodé du système rénal) et la DHEA (hormone yang, androgène) dont sont issues les oestrogènes et la testostérone.

Quand nous sommes stressées sur du long terme ou régulièrement dans notre vie personnelle (situation familiale, émotionnelle, professionnelle) ou par notre santé (inflammations récurrentes, maladies auto-immunes, etc.) ou par notre alimentation (manque ou excès d’exercices, alimentation raffinée riche en sucres et en  produits animaux, alcool, excitants, polluants externes), nous venons interférer directement sur l’équilibre du système hormonal. C’est l’histoire du cheval mal traité auquel on demande de garder la même cadence. Il faut préserver à tout prix le système qui permet au corps de s’adapter sans problème au stress, entre Adrénaline (mode combat ou fuite), Cortisol (énergie quotidienne, enthousiasme, adaptation au stress léger, dynamisme, etc.) et DHEA (hormones sexuelles à caractère androgènes). 

On soulignera ici, l’importance d’avoir un foie en excellente santé afin que le cholestérol disponible soit de qualité. En effet, il contribue à la cascade hormonale des surrénales. Mais aussi, il est en charge de recycler et de redistribuer dans l’organisme les oestrogènes en excédents par le biais de 3 voies de métabolisation : 2-OH, 4-OH et 16-OH. Dans un monde idéal, la métabolisation des oestrogènes au niveau hépatique devrait suivre l’équilibre suivant : entre 60 à 80% par la voie 2-OH, jamais plus de 11% par la voie 4-OH et maximum 30% par la voie 16-OH. 

Mes hormones me mettent en "vrac"

Voici quelques exemples de problèmes rencontrés que vous pouvez facilement régler en changeant votre alimentation (alimentation hypotonique et anti-inflammatoire), limitant votre stress par la méditation ou la relaxation et par un peu d’exercices physique.

  • Boutons, douleurs pendant la période d’ovulation, maux de tête -> le pic d’oestrogènes utile à la sécrétion de LH met le corps en ébullition. Augmenter votre ration de plantes et aliments progestérone mimétique. 
    • Supprimer tous les aliments inflammatoires (pas de gluten, pas de farine, pas de lait, pas de fromage, pas de viandes rouges, pas de sucres, pas d’alcool.
    • Infusions de plantes d’Alchemille matin et soir pour calmer le pic d’oestrogène.
    • Gattilier (en gélule, 1 à 2 par jour) et huile d’onagre (2 à 4 gélules par jour ou 2 cuillères à café).  
    • 1/2 citron pressé le matin dans un grand mug d’eau chaude. 
  • Ovaires polikystiques, pilosité importante, perte de cheveux, acné -> l’aromatisation des androgènes en oestrogènes est déséquilibrée, la métabolisation des oestrogènes excédents au niveau hépatique n’est sans doute pas optimale.  
    • Encore une fois, priorité sur l’alimentation anti-inflammatoire (pas de sucre, pas d’alcool, pas de féculent, pas de gluten, pas de viandes rouges, pas de laitages).
    • Prendre du DIM (Di-indolylméthane), 2 par jour, afin d’améliorer la métabolisation hépatique des oestrogènes circulants. 
    • Prendre également des infusions d’Alchemille, du Gattilier et de l’huile d’Onagre, pendant toute la durée du cycle. Faire un break pendant les règles.
    • 1/2 citron pressé le matin avec une grande tasse d’eau.
    • 1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre dans un grand mug d’eau chaude avant les repas.
    • 1 gélule de chardon-marie et 1 ampoule de desmodium avec le 1/2 citron pressé du matin pendant 10 jours a partir de la période d’ovulation
    • Méditer, marcher, prendre l’air, pratiquer la cohérence cardiaque sont importants pour calmer les androgènes.
  • Syndrome prémenstruel (irritabilité, mal au sein, gonflement, déprime) dès la période d’ovulation ou quelques jours avant les règles -> l’équilibre progestérone / oestrogène ne se fait pas bien. La métabolisation des oestrogènes au niveau hépatique est sans doute peu optimisée.
    • Régime anti-inflammatoire le plus souvent possible.
    • Gattilier, 1 à 2 gélules par jour selon votre niveau de pression interne. Idéalement le soir après le diner. Tisane d’Alchemille matin et soir. Huile d’onagre (4 à 6 gélules par jour ou en flacon à la boutique bio, prendre 1 à 4 cuillères à café par jour. Conserver au réfrigérateur car cette huile est très sensible à l’air). 
    • Si vous avez très mal au sein, appliquer sur vos seins 1 à 2 fois par jour, un gel Vitex (Gattilier chez Oemine). 
    • 1 gélule de chardon-marie et 1 ampoule de desmodium avec le 1/2 citron pressé du matin pendant 10 jours a partir de la période d’ovulation
  • Déprime avant les règles et envie de vider le frigo, besoin de sucre -> au secours, la progestérone, ne me quitte pas!
    • Huile d’onagre (4 à 8 gélules par jour)
    • Gaba (Acide Gamma-Aminobutyrique) pour calmer le stress, apporter de la sérénité et avoir un bon sommeil réparateur. 1 gélule vers 19h donne de bons résultats.
    • 5-HTP (5-Hydroxytryptophane) ou Griffonia simplicifolia (graines) est un acide aminé précurseur de sérotonine impliqué dans la régulation de l’humeur, du sommeil et de l’appétit. Prendre 150 à 600mg par jour, de préférence en fin de journée entre 17h et 19h. 
    • Gattilier, 2 gélules par jour
  • Mauvaise humeur et irritabilité -> au secours, les oestrogènes, calmez-vous? Comment les aider. 
    • Tisane de cône de houblon et d’alchemille, 1 à 2 fois jour. Sinon, vous pouvez prendre en EPS de plantes en pharmacie, commander un mélanger à part égale pour 150ml de Houblon, Alchemille, Mélisse. Prendre  1 cuillère à café matin et soir de ce mélange dans un verre d’eau. Vous pouvez prendre ce mélange 3xjour si besoin.
      Si vous avez des règles très abondantes ou un fibrome, remplacer le houblon par le trèfle rouge
  • Douleurs de règles insupportables, spasmodiques et abondantes.
    • Pour limiter les douleurs, les spasmes et l’abondance, prendre tout au long du cycle des modulateurs d’oestrogènes avec des plantes aux propriétés progestérone mimétique comme : Gattilier, Onagre, Alchemille. 
    • Alimentation anti-inflammatoire.
    • Plantes adaptogènes qui augmentent la résistance au stress comme Rhodiola, Mélisse, Griffonia sont également bienvenues.
    • Les plantes qui limitent les saignements et aident l’utérus dans l’élimination lors des règles sont Bourse à pasteur (en teinture-mère en cas de saignements importants, 15 à 30 gouttes dans un verre d’eau 1 à 3 fois par jour).
      La tisane d‘Achillée millefeuille, 1 cuillère à soupe pour un litre d’eau avec quelques feuilles de framboisier seront un grand soutien. Vous pouvez également prendre Achillée millefeuille en gélules ou en teinture-mère. 
  • Endométriose.
    Maladie extrêmement invalidante et douloureuse, à laquelle je n’ai toujours pas, à ce jour, trouvé de solutions naturelles que je qualifierais “efficaces”. Néanmoins, adopter une alimentation anti-inflammatoire, protéger et nettoyer son foie, prendre des plantes progestérone mimétique, et travailler sur la gestion du stress, améliorent beaucoup la situation.
    L’endométriose est une maladie pour laquelle, je pense, qu’il y a un problème dans la métabolisation hépatique des oestrogènes excédents, associé à une hypersensibilité aux perturbateurs endocriniens.
    Ces hypothèses sont totalement non fondées scientifiquement et uniquement basées sur mon observation en écoutant les différentes personnes que j’écoute.  
    Néanmoins, basée sur ce que la médecine propose, en bloquant les sécrétions hormonales, notamment oestrogéniques, les résultats permettent de limiter les souffrances, les symptômes et l’aggravation des endométrioses avec des traitements hormonaux adaptés.  
    Quoi qu’il en soit, adoptez un régime hypotoxique et anti-inflammatoire, toute l’année et vraiment évitez les écarts trop souvent.
    Fuyez tous les perturbateurs endocriniens, tous sans exception.
    Faites des cures de Zéolithe régulièrement, en prenant une cuillère à café dans un verre d’eau vers 17h ou avant de vous coucher (toujours laisser au moins 6h entre la prise de Zéolithe et vos médicaments). 
    Consommez des plantes progestérone mimétique (Gattilier, Onagre, Alchemille), calmez l’activité de réponse au stress (Gaba, 5-HTP, mélisse, méditation, cohérence cardiaque).
    Aidez votre foie avec du citron pressé, chardon-marie, desmodium et DIM (Di-indolylméthane).
    Attention à votre alimentation, supprimez les aliments riches en oestrogènes (alfalfa, soja, viandes rouges, etc.), veillez à ne pas consommer des aliments raffinés, des sucres industriels, des sodas, des plats “tout prêt” ou des viandes non issues de l’élevage biologique car elles seront riches en oestrogènes injectés. 

Quelques liens utiles

  • Choisissez des compléments alimentaires sans excipients, conditionnés si possible dans des gélules en pullulan (sinon ce n’est pas grave, vous ouvrez la gélule). 
    • https://agnesdelaunay.com/actualite/choisir-ses-complements-alimentaires-et-excipients/
    • https://agnesdelaunay.com/coup_coeur/carnet-adresses/
  • Pour en savoir plus sur l’alimentation anti-inflammatoire
    • https://agnesdelaunay.com/pleine_sante/aliments-et-inflammation/ 
  • Pour en savoir plus sur l’incidence du stress sur les hormones 
    • https://agnesdelaunay.com/pleine_sante/stress-et-hormones/
  • Sources 
    • “Principes d’anatomie et de physiologie”. Tortora / Grabowski. deuxième Edition. DeBoeck Université.
    • “Women’s Bodies, Women Wisdom”. Dr. Christiane  Northrump. Ed Bantam.
    • Dr. Afrouz Demeri, Hollistic Hormones (https://drdemeri.com/about)
    • “Gynécologie”. J.R. Giraud, A. Brémond, D. Rotten. 3ème édition. Masson Abrégés. 

Important

Le contenu de cet article n’a AUCUNE vocation “médicale”, ce n’est pas document scientifique.
Si vous avez des problèmes de santé, consultez un médecin qui est la seule personne habilitée légalement en France à faire un diagnostic. Ne pas changer, ni arrêter un traitement en cours sans l’accord de votre médecin vous mettriez votre santé en danger. 

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